Depuis que je pratique l’art du rangement, j’entends souvent cette crainte d’être jugé par les occupants des lieux que je visite. Jugé, comme si notre désordre révélait toute notre identité.

Alors prenons 2 minutes pour y réfléchir.

La notion de désordre est très relative. L’un pourra avoir passé des heures à ranger une pièce et un autre trouvera que c’est vraiment bordélique, qu’il est vraiment temps de faire quelque chose! A l’inverse le rangement systématisé des autres angoissera les premiers, incapables eux, de vivre dans un « intérieur de magazine de décoration », ou dans « un bloc opératoire aseptisé. » 

Désordre dans la chambre d'un enfant

Notre vision du rangement varie selon notre personnalité, notre éducation, le souvenir de la maison dans laquelle nous avons grandi, comment nos parents la rangeaient,  et comment ils nous ont appris à ranger. Elle varie aussi selon les personnes avec qui nous vivons : ont-ils la même notion du rangement que moi ? Je parle des chaussettes à terre et des jouets qui traînent…

Et puis la dernière variable c’est ce qui nous arrive dans le quotidien. Des événements de vie comme une naissance, un déménagement, un départ en maison de repos, une séparation, nous obligent à reconfigurer l’espace de notre demeure.

 D’autres moments comme la fatigue, le stress au travail, le deuil, la dépression, consomment notre énergie et nous empêchent de nous investir dans  notre lieu de vie.

Je crois que le curseur ordre/désordre doit surtout se positionner au niveau de la limite supportable/insupportable pour moi et ma famille. Quand il devient urgent d’investir de l’argent dans un coaching en rangement pour ne pas fragiliser sa santé mentale.

 Le retour sur investissement se fera rapidement en terme d’énergie, argent, temps, et espace retrouvés.

Alors n’hésitez pas à m’appeler : le rangement sera votre outil mieux-être de cet hiver !